Lundi 20 Juin 1988 Une Soirée Très Agréable
Le lundi, comme à laccoutumée, jarrivais en fin de matinée faisant une visite sur un chantier se situant sur ma route vers Angoulême. Là après avoir salué tut le monde, je me confinais dans mon bureau devant préparé un certains nombre de documents me permettant de massurer que ma succession, se passe correctement. En fait nayant aucune confiance dans lhonnêteté de mon successeur, bien que quittant la société, je tenais à assurer mes arrières. Dautre part étant parti de bonne heure le matin, je quittais les bureaux à la débauche.
Mardi 21 juin 1988
Le matin il y eut le rituel du bonjour matinal, puis lheure du courrier avec larrivée de Monique et son sourire et son : « Bonjour Monsieur », elle ne manqua pas de se pencher pour me tendre le parapheur, avec vue imprenable sur sa belle poitrine. Puis se redressant et mezza voce :
« Tu noublies pas, ce mercredi vers 19,00 h.
»
Moi : « Je ne manquerais ce rendez-vous pour rien »
Monique : « Hier je nai pas pu te voir,
depuis vendredi,
hier tu aurais pu me faire signe,
javais ma jupe large,
je métait préparé pour toi,
»
Moi : « Tu sais très bien que le lundi est une mauvaise journée,
et puis il faut que je prépare mon départ,
tu connais mon remplaçant,
jai un certain nombre de précautions à prendre, mais viens,
il faut que je te montres,
»
Sans hésiter, elle vint se positionner à coté de moi : « Est-ce que le petit animal est visitable,
» Ce jour elle avait se jupe portefeuille.
Monique : « Arrêtes de causer,
viens,
» Penchée en avant, cela me permettait de glisser, discrètement, une main sous la jupe et remonter jusquà son minou, sans grand risque. Arrivé au but, rapidement, jenveloppais son minou de ma paume et commençais à lui caresser la chatte.
Monique : « Dis moi que tu aimes me caresser là,
ne me fais pas trop attendre,
je veux te sentir me prendre,
continues,
»
Je continuais à la caresser et je sentais ses cuisses souvrir et sa chatte frémir légèrement.
Sans quitter ma position dentre ses cuisses et en remuant doucement les doigts dans son fourreau, je lui dis : « Il faut arrêter,
si quelquun venait,
»
Monique : « Non,
sil te plait,
tu mas tellement manqué,
ça me rend folle dattendre,
je sens que ça vient,
»
Quand retentit la sonnette du téléphone. Il y eut quelques secondes dhésitations et prenant le combiné je le tendis à Monique pour quelle puisse répondre.
Elle eut un peu de mal à retrouver ses esprits, mais elle y réussit, alors que javais hésité à enlever ma main de sa position au chaud entre ses cuisses.
Le coup de fil terminé, elle me prit la main et en me regardant, se mit à sucer les doigts pleins de son jus damour. Pour terminer elle dit : « A toute à lheure sur le parking,
je tattends avec impatience,
» et elle partit.
En cours de matinée, javais « popol » qui semblait avoir des idées et je décidais dappeler Monique pour me faire plaisir et pour la maintenir excitée et bien chaude.
Moi : « Tu es seule,
»
Monique : « Bien sur,
»
Moi : « Quas tu sous ta jupe,
»
Monique : « Devines,
bien sur, rien,
comme tu aimes,
»
Moi : « Et toi tu aimes être nue sous ta jupe,
«
Monique : « Oui pour toi,
oui et un peu pour moi,
tu mas complètement dévergondée,
je suis folle,
mais jaime te faire plaisir
»
Moi : « Viens,
»
Monique : « Pourquoi faire,
»
Moi : « Je voudrais te sentir,
jai perdu ta chaude odeur,
»
Monique : « Tu es fou,
fou à lier,
non,
je ne viens pas,
»
Moi : « Viens,
juste une petite caresse,
là où tu aimes,
viens,
»
Quelques instants passés, jentendis le léger claquement de ses talons et elle apparut.
Monique : « Tu es complètement fou,
et moi je suis débile,
quest-ce que tu mas fait,
jobéis,
comme une chienne bien dressée,
tu siffles et jarrive,
cest pas vrai,
je ne me reconnais plus,
»
Moi : « Moi,
je ne tai rien fait,
cest toi qui a découvert que tu aimes ces petits jeux,
enfin un peu avec mon aide,
je le reconnais,
mais tu es gourmande,
et curieuse,
et tu as un corps qui incite à lamour,
viens à coté,
je suis sur que tu es toute chaude,
»
Monique : « Bon,
juste une petite caresse,
promis,
» et elle vint gentiment à coté de moi et glissant ma main à larrière de sa jupe, je remontais jusquà son minou tout chaud. Un doigt inquisiteur vérifia que ce doux fourreau sétait humidifié lors de cette conversation.
Monique : « Arrêtes,
tu s,
je ne vais pas tenir,
OOOHHH,
non,
» et elle fit un petit pas de coté : « Tu nas pas de parole,
»
Moi : « Tu es tellement belle,
et ensorcelante,
quand je te sens,
ça me donne des idées,
dautant que je ne tai pas caressé depuis très longtemps,
et ce soir il faudra que je me tienne bien,
»
Monique : « Tu es un traitre,
je me sauve,
tu vas encore inventer quelque chose,
» et elle partit.
Un peu avant midi, je quittais le bureau et allais me garer au parking, précédemment utilisé pour nos amours clandestins, bien décidé à moccuper delle, dautant quil ne me restait que peu de temps pour en profiter au maximum .
Jétais installé depuis une dizaine de minutes que Monique arrivait et venait se garer à coté de moi. On se retrouvait entre les deux voitures, un peu à labri des regards de la route. Elle vint contre moi : « Embrasses moi,
» Sen suivit un bonne partie de lèche museau, pendant que javais les mains qui parcouraient son corps de caresses, ce quelle adorait. Puis je soulevais sa jupe, je pouvais avoir ainsi à son joli cul, que je pouvais caresser et malaxer à plaisir, pour enfin la soulever et la poser sur le capot de ma voiture en lui disant : « Soulèves ta jupe,
je vais moccuper de ton joli minou,
je vais te bouffer la chatte,
»
Sans hésiter elle se laissa aller sur le capot, le compas de ses jambes bien ouvert et la jupe entièrement remontée, la chatte bien dégagée, offerte, qui semblait souvrir.
Moi : « Taimes être prise des deux cotés,
»
Monique : « Jaime ce que tu me fais,
prends moi avec tes doigts,
ta langue,
comme tu veux,
fais moi jouir,
on na plus beaucoup de temps,
je veux profiter de toi,
je suis à toi,
prends moi,
» Il ne fallut pas beaucoup de temps pour la faire monter en pression et quelle réagisse au traitement que je lui faisais subir : « Oui,
cest bon,
continues,
je mouvre pour toi,
fais moi jouir,
OOOHHH,
OUIIIIIII,
encore,
OUIIIIIIIIII,
»
Au premier oui, elle sétait encore ouverte alors que pour le second ses cuisses se refermèrent sur ma tête le temps dun spasme aussi brutal quinattendu. Enfin se redressant sur le capot et glissant jusquau sol, à son habitude, elle prit mes doigts et les suça : « Jaime gouter à notre plaisir,
embrasses moi,
depuis ce matin jattendais,
tu mas donné beaucoup de plaisir,
» Voyant leffet produit sur ma braguette, elle me dit : « On va dans ta voiture,
je vais moccuper de toi,
mais avant,
est-ce que tu aimes mes seins,
Alors pourquoi tu ne ten ais pas occupé,
»
« Je me suis occupé de ta chatte,
cela ma paru plus urgent,
» et ouvrant son corsage elle dit : « Embrasses les,
têtes moi,
jaime quand tu les prends dans ta bouche,
OH,
cest bon,
jaime quand tu me regardes,
tu sais ce que jaimerais,
être nue dans tes bras,
te sentir me regarder,
te faire envie,
»
Moi : « Tas une jupe portefeuille,
défaits ta ceinture,
tu seras presque nue,
je pourrais ainsi satisfaire ta curiosité et la mienne,
» Elle défit la ceinture et ouvrit complètement sa jupe étant ainsi presque nue : « Ca te plait,
OH,
attends,
» Elle sortit de la voiture et debout devant la portière, la jupe tomba au sol : « Attends,
il ny a personne,
» elle ouvrit son corsage, dénudant ainsi ses seins : « Alors,
le spectacle te plait,
» et elle rentra dans la voiture, et pratiquement nue vint se mettre à cheval sur mes genoux : « Dis moi que je suis folle,
mais jaime faire ça pour toi,
jaime que tu aies envie de moi,
je vais moccuper de toi,
»
Ce qui amena sa poitrine au niveau de ma bouche pour que je puisse men occuper, ce que je fis avec plaisir, en même temps que je lui caressais le dos, les fesses et remontais.
Enfin, regardant à gauche et à droite, presque nue, elle partit vers sa voiture et revint avec un paquet jai apporter de quoi se restaurer,
cest mieux quau restau,
» Assis à larrière de la voiture nous nous mîmes à manger ses sandwiches. Ceux-ci terminés, se redressant et se réajustant : « On pourrait peut-être rentrer,
je finirais au bureau,
»
Moi : « Tu peux rentrer, je vais attendre un peu ici, entrant tous les 2 ensembles cela pourrait poser des problèmes aux curieux »
La fin de la journée se passa sans incident
Come prévu, Jarrivais à 19,00 h, cétait Monique qui vint mouvrir, élégante au possible dans une robe de couleur grenat, corsage bien ajusté, décolleté juste assez pour suggérer sans montrer, serrée par une ceinture, qui affinait sa taille et la jupe au-dessus du genoux qui sévasait gentiment. En ouvrant la porte, elle me fit une petite moue, comme un baiser avec un léger sourire avec un : « Bonjour, Monsieur », son mari arriva. Echange de politesse classique avec la plaisanterie classique de lui dire : « Comme militaire je dois vous présenter mes respects,
ou puis-je simplement dire Bonjour Monsieur » La dessus il me présenta ses excuses pour le rendez-vous annulé. Monique tourna pudiquement les yeux. Puis direction vers le salon, où lapéritif avait été préparé et la conversation repartit de plus belles, souvenir dAfrique, Ah vous avez fait votre service militaire,
La conversation allait bon train et je maperçus dun petit détail, Monique et son mari étaient assis dans des fauteuils du même coté de la table de salon, alors que jétais sur le sofa. Je maperçus incidemment que pour servir lanisette, Monique sétait redressée, pour enfin se pencher, ce qui me permit davoir un aperçu rapide dans son décolleté. Lavait-elle fait exprès ?
Dautre part, sasseyant, la jupe arrivait au dessus du genou et chaque fois elle la remontait légèrement, on ne voyait que ses jambes, mais ce geste était assez suggestif pour donner des idées,
On était installé depuis une petite demi-heure que le téléphone sonna. Monique prit lappareil et on entendit : Ah bon,
ce nest pas grave,
ah, oui,
attendez,
jen parle à mon mari,
»
Puis elle revint dans le salon : « Le livreur du couscous vient davoir un accident de scooter, il ne pourra pas livrer le diner, il est prêt, il faudrait aller le chercher,
»
Le mari prit le téléphone après des échanges un peu violent, il revint en disant : « Si on veut manger, je vais aller chercher le couscous,
aller-retour, jen ai pour trois quart dheure, prenez lapéritif en mattendant, ... il y a de quoi boire,
à toute à lheure,
» et il partit. Alors que Monique se précipitait à la fenêtre pour voir le départ de son mari, je la suivais et la voiture ayant démarrée, et étant derrière, je mettais mes deux mains sur ses seins et commençais à men occuper sérieusement, le tout accompagné de baisers dans la base du cou. Ce qui entraina des arrêtes,
ne commences pas,
Mais je suis assez persévérant et bien décidé à profiter de cette heure de liberté pour aller plus loin. Je la fis pivoter et soulevant sa jupe javais une main qui se dirigeait vers sa grotte damour : « Arrêtes,
tu ne vas pas,
»
Moi : « OH que si,
je vais profiter,
jai très envie de toi,
dabord ouvres ton corsage,
avant tout, je veux gouter à tes seins,
»
Monique : « Non,
oh oui,
» et elle ouvrit son corsage, dont les seins jaillir pour être pris en bouche, ce que je fis, alors que jatteignais sa grotte damour qui, oh surprise, nétait pas recouverte de léternel tissu du slip, même aussi fin quil soit. Jentrepris de caresser ces douces lèvres en lui disant : « Je vois que tu tétais préparé à toutes éventualités,
tournes toi,
montres moi ton joli cul,
»
Monique se tournant en appui sur la table : « Oui,
prends moi vite,
je suis toute chaude,
jai envie de te sentir me prendre,
Oui,
dépêches toi de me prendre,
viens,
»
Je remontais sa jupe jusquaux reins et sans autres préparations mintroduisais dans sa chatte chaude et accueillante et commençais une série de va et vient dans son fourreau humide à souhait,
Elle réagit rapidement : « Oui,
remplis moi,
je te sens bien,
mes fesses,
(javais oublié de lui claquer les fesses, ce qui lexcitait) oui, continues,
je sens que ça vient,
jaimes brute,
»
Moi : « Je vais prendre ton cul,
»
Monique : « Non sil plait,
je te veux là,
je veux que tu me montes,
tu me rends folle,
dis moi que je suis ta femelle, ... que taimes me prendre comme ça,
je sens que je vais jouir,
continues,
OUIIIIII,
ne tarrêtes pas,
remplis moi,
OOOOHHHH,
. OUIIIIIIII,
. OUIIIII,
» Le dernier oui fut précédé dun spasme brutal qui la secoua entièrement, et ce qui fit que, bien cramponné à ses hanches, je me vidais complètement et entièrement dans son fourreau.
Il lui fallut quelques secondes, puis se redressant : « Profiteurs,
je vais me réajuster,
» et jen profitais pour également me réajuster et minstaller à ma place sur le sofa.
Peut-être une dizaine de minutes après le mari arriva avec le diner et en sexcusant pour le retard et, Monique de retour toute pimpante, il espérait que le temps ne nous avait pas paru trop long.
Nouvel apéritif, diner fort sympathique avec Henry : « Appelez moi Henry,
» et une Monique belle et rayonnante. Mais tout à une fin, vers minuit, je décidais de partir et remerciais, quand Monique dis : « Je descends chercher le paquet que jai oublié dans la voiture »
Nous descendîmes tranquillement et arrivé dans le petit hall dentrée sombre, Monique se colla à moi : « jai passé une excellente soirée,
demain, si tu veux, on finira ce quon na pas pu finir ce soir,
bonne nuit,
» elle était partie et moi estomaqué.
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